Un employé d'Eidos Montréal fait polémique.

Si vous suivez l'actualité internationale, ou si vous êtes un de nos nombreux lecteurs québécois, les évènements liés aux législatives du Québec ne vous ont sans doute pas échappé, à savoir l’élection au poste de Premier Ministre de Pauline Marois et donc l'arrivée au pouvoir du Parti Québécois, militant pour l'indépendance de la province au sein du Canada. Election suivie par une fusillade ayant fait un mort et un blessé durant un discours de Pauline Marois, les tensions entre une partie des communautés anglophones et francophones étant monté de quelques crans. C'est sur sa page Facebook qu'un testeur d'Eidos Montréal (Deus Ex Human Revolution...) a publié son opinion tranchée sur la question en deux phrases, en anglais, rapportées un peu partout dans la presse canadienne :

«On ne peut pas trouver de bons assassins ces jours-ci.»

Avant de préciser dans les commentaires de son statut :

«Je ne donne pas un mois à cette pute avant que quelqu'un de plus précis ne se dresse et fasse ce qui doit être fait»

Bilan pour l'employé qui travaillait depuis 2008 chez Eidos : le renvoi immédiat. Stéphane D'Astous, directeur d'Eidos Montréal explique que la société applique la "tolérance zéro en matière d'intimidation et de harcèlement". Une belle histoire qui vaut à la société et à l'industrie de se retrouver sous le feu des projecteurs, encore une fois pour une belle et noble raison.

Source : jeuxvidéo.com

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