Jade Raymond n'aime pas les Transformers.
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17042012
Jade Raymond n'aime pas les Transformers.
Jade Raymond est une femme incroyablement charmante et extrêmement douée dans son domaine, ce qui l'a rapidement propulsée à la tête d'Ubisoft Toronto, après qu'elle ait fait ses dents sur le premier Assassin's Creed. De ce fait, la belle a maintenant toutes les cartes en mains pour faire avancer le schmilblick. À ce titre, ses récentes déclarations frappent vite et bien. Car pour elle, il est temps que l'industrie évolue.
D'après Jade Raymond, qui travaille sur le prochain Splinter Cell, le jeu vidéo peut grandir d'une autre façon que le cinéma. Pour faire simple, elle est persuadée qu'il n'y a pas besoin de faire du Michael Bay pour vendre (des blockbusters bourrés d'effets spéciaux et sans scénario). Cela revient à dire que les productions peuvent être intelligentes et bankables, dans le sillage des Assassin's Creed. Elle dit donc oui aux suites, mais uniquement aux suites intelligentes.
"Je pense que nous n'avons pas besoin de faire du Michael Bay pour vendre 5 millions de copies de nos jeux. Les choses peuvent être excitantes, avoir du sens et toucher à plusieurs sujets, et je ne suis pas la seule à penser ça. C'est quelque chose que nous visons au sein d'Ubisoft Toronto. Je pense que tous les autres médias doivent avoir du succès commercial, mais aussi faire réfléchir l'audience."
En prenant l'exemple du jeu vidéo, Jade Raymond explique que les studios peuvent aller très loin grâce aux possibilités en termes de narration et de gameplay. Bien sûr, rien n'est facile. Sauf avec Jade Raymond...
Source : PS3Gen.
D'après Jade Raymond, qui travaille sur le prochain Splinter Cell, le jeu vidéo peut grandir d'une autre façon que le cinéma. Pour faire simple, elle est persuadée qu'il n'y a pas besoin de faire du Michael Bay pour vendre (des blockbusters bourrés d'effets spéciaux et sans scénario). Cela revient à dire que les productions peuvent être intelligentes et bankables, dans le sillage des Assassin's Creed. Elle dit donc oui aux suites, mais uniquement aux suites intelligentes.
"Je pense que nous n'avons pas besoin de faire du Michael Bay pour vendre 5 millions de copies de nos jeux. Les choses peuvent être excitantes, avoir du sens et toucher à plusieurs sujets, et je ne suis pas la seule à penser ça. C'est quelque chose que nous visons au sein d'Ubisoft Toronto. Je pense que tous les autres médias doivent avoir du succès commercial, mais aussi faire réfléchir l'audience."
En prenant l'exemple du jeu vidéo, Jade Raymond explique que les studios peuvent aller très loin grâce aux possibilités en termes de narration et de gameplay. Bien sûr, rien n'est facile. Sauf avec Jade Raymond...
Source : PS3Gen.
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